Iñigo Herraiz

Journaliste.

  • Bolivie : quand l’eau est privatisée
    Dans la décennie des années 90, Ismael Serageldin, en tant que vice-président de la Banque mondiale, pronostiquait que les guerres du XXIe siècle seraient pour l’eau. La Bolivie a été l’un des premiers pays à lui donner raison. A peine le nouveau siècle étrenné, en avril 2000, la dénommée « or bleue  » a déchaîné dans la ville de Cochabamba l’une des révoltes les plus (...)
    27 avril 2005 | Lire la suite
  • L’eau sera un "bien public" et ne sera pas privatisée
    Uruguay : la démocratie de l’eau
    Le fait qu’un pays comme l’Uruguay élise pour la première fois de son histoire un gouvernement de gauche après 170 ans d’alternance entre les partis « blancos  » (conservateurs) et « colorados  » (libéraux) est notable mais il est peut-être plus important encore de noter le caractère pionnier de l’organisation d’un référendum sur l’eau marqué par le refus de la (...)
    Agencia de Información Solidaria (AIS) | 17 novembre 2004 | Lire la suite
  • Du problème de la violence juvénile en Amérique latine
    Dans le secteur 7 de Villa El Salvador (Lima, Pérou), un monument érigé à côté du terrain de football rend hommage à la dernière victime de la violence des bandes de jeunes. Dans cet endroit précis, il y a deux mois, l’habituelle « bagarre  » entre bandes rivales, avivée par la consommation de drogues et l’alcool, a eu la mort d’un jeune poignardé comme fatal dénouement. Il ne (...)
    26 août 2004 | Lire la suite
  • Pérou : la loi de l’or dans la plus grande mine d’Amérique
    La mine d’or d’Yanacocha, au nord du Pérou, est la plus grande d’Amérique et elle est en passe de devenir la plus grande du monde. Sa rentabilité, à l’épreuve des oscillations du prix du métal, permet à ses gérants de pronostiquer pour le moins encore dix ans de juteuses recettes. Mais, rien de ceci n’est un motif de joie chez les habitants de la zone, pour lesquels (...)
    Agencia de Información Solidaria (AIS) | 7 juillet 2004 | Lire la suite
  • Chiapas : La paix fictive
    Oubli et impasse, tels sont le mots qui nous viennent à l’esprit pour qualifier le conflit au Chiapas. Marginalisé dans les médias, le conflit persiste mais la perspective d’une paix "juste et digne" semble plus que jamais éloignée. Nous reproduisons ici un article du journaliste Iñigo Herraiz (ONG ’Solidarios para el Desarrollo’, Etat espagnol) résumant ce qui s’est passé (...)
    mai 2002 | Lire la suite