Pablo Davalos

Chercheur équatorien, professeur àl’Université interculturelle des nationalités et des peuples indigènes d’Equateur (UINPI) et coordinateur du groupe de travail « Mouvements indigènes en Amérique latine  » du Consejo Latinoamericano de Ciencias Sociales (CLASCO).

  • Equateur
    Mouvements citoyens, assemblée constituante et néolibéralisme
    La transition vers la démocratie qui, en Equateur, a eu lieu précocement en 1979, s’est caractérisée par la création d’un système politique excluant, fermé et technocratique, mais qui au moins donnait à l’Etat la capacité de réguler l’économie et les marchés, en fonction d’une idée, alors en vogue, d’industrialisation et de croissance endogène. Cette transition (...)
    ALAI, Agencia Latinoamericana de Información | 4 avril 2007 | Lire la suite
  • Equateur : Plan Colombie, crise institutionnelle et mouvements sociaux
    La région andine est en train de devenir, au niveau latino-américain, un noyau de conflits de la même ampleur et de la même importance que le cône Sud dans les années 70 et l’Amérique centrale dans les années 80. En effet, une description sommaire de la situation politique dans la région nous montre au Venezuela un gouvernement en conflit ouvert avec les Etats-Unis. Il y a aussi la guerre civile (...)
    Observatorio Social de América Latina (OSAL) | 6 septembre 2006 | Lire la suite
  • Elections, gauche et néolibéralisme
    Comme l’avaient indiqué les sondages, le candidat Alan Garcia de l’APRA a gagné avec un avantage d’environ 10 points contre Ollanta Humala, le candidat de l’Union pour le Pérou. Cette victoire d’un candidat qui n’a cessé d’infléchir ses positions vers la droite et de céder devant le modèle néolibéral et les intérêts de Washington, a des conséquences sur la (...)
    ALAI, Agencia Latinoamericana de Información | 26 juin 2006 | Lire la suite
  • Equateur : entre les ambiguïtés de la politique et la politique des équivoques
    L’Equateur vit actuellement une crise de son système politique qui met en tension les contenus mêmes de la démocratie et de la participation sociale. Il s’agit d’un panorama confus et ambigu, dans lequel les décisions de la conjoncture paraissent être si déterminantes que l’on a même accusé le mouvement indigène équatorien de trahison et de tromperie pour ne pas participer aux (...)
    ALAI, Agencia Latinoamericana de Información | 28 mars 2005 | Lire la suite